Lectures pour périodes troublées

17 décembre 2013 | Actualité

Lectures pour périodes troublées

En cette période de préparation des fêtes de fin d’année, nous souhaitions vous signaler que de nombreux livres de Dominique Venner sont encore disponibles en librairie ou sur Internet.

 

Dictionnaire amoureux de la chasse, Plon, coll. « Dictionnaire amoureux », Paris, 2000.

« Dominique Venner traite de la chasse comme d’un art de vivre aux nobles traditions, aux exigences et aux respects sans lesquels elle ne serait qu’une tuerie de plus dans un monde en si fragile équilibre que nous le voyons, d’année en année, nier ses origines et foncer vers un illusoire progrès. Dictionnaire amoureux de la chasse est un beau titre. Oui, amoureux est bien le mot qui qualifie cet érudit essai, à la fois rude et charmeur, qui ne convaincra pas les ennemis de la chasse mais leur apprendra l’existence d’un code immémorial, de l’âge des cavernes à nos jours. »

Michel Déon, Le Figaro Magazine, 25 novembre 2000.

 

Le Siècle de 1914 : Utopies, guerres et révolutions en Europe au XXe siècle, Pygmalion, 2006.

« La réflexion aigüe et pénétrante de Dominique Venner n’est pas un enchaînement de concepts. Soutenues par des lectures impressionnantes, elle se nourrie du réel, s’appuie sur des analyses fouillées et précises d’évènements, s’adosse à des interprétations éclairantes des acteurs et des ouvrages qui forgèrent le siècle dernier. Plus qu’une somme, une leçon d’intelligence et de lucidité. D’espoir aussi. »

Frédéric Valloire, Valeurs Actuelles, 23 juin 2006.

 

Ernst Jünger : un autre destin européen, Éd. du Rocher, 2009.

« La remarquable étude que publie Dominique Venner n’est pas une biographie de plus consacrée à Jünger, qui redoublerait celles dues, en français, à Alain de Benoist, Banine, Towarnicki, Palmier ou Hervier. L’empathie, présente chez tous les biographes, est ici enrichie d’une circonspection interrogative qui manque souvent aux lecteurs de Jünger. Venner suit la chronologie des faits et gestes de son modèle, mais en s’efforçant de déchiffrer les mobiles d’événements ou de textes qui étonnent chez l’écrivain allemand : l’éloge du non-agir, par exemple, à l’œuvre dans Sur les falaises de marbre, ou les songeries utopiques du manifeste La Paix, de 1943. Tout ce qui ne semble pas aussi clair et droit que l’étaient le personnage et ses engagements, notamment dans la Grande Guerre, est ici immanquablement soumis à discussion, voire à controverse, de manière construite et instruite, non polémique. »

Jean-François Gautier, Site-web – Dominique Venner, Août 2009.

 

Le Choc de l’histoire : religion, mémoire, identité, Via Romana, 2011.

« Sous la forme d’entretiens avec la journaliste Pauline Lecomte, le présent volume offre une synthèse stimulante de ses travaux, retraçant les grandes étapes de l’aventure européenne depuis les origines et proposant des pistes pour conjurer le déclin d’une Europe aujourd’hui sortie de l’histoire, confrontée à l’immigration de masse, au mondialisme marchand, aux délires techniciens et financiers. Des pistes qui passent par un retour aux sources homériques de son identité. Une pensée de haute tenue, doublée d’une leçon d’optimisme. Le tout exprimé, comme à l’accoutumée chez Venner, dans une langue superbe. »

Christian Brosio, Le spectacle du monde, novembre 2011.

 

L’imprévu dans l’Histoire : treize meurtres exemplaires, Pierre-Guillaume de Roux, 2012.

« Même s’il est vain de prétendre réécrire l’histoire avec des si, la question que se pose l’historien Dominique Venner dans ce livre très richement documenté n’est pas absurde. Loin de penser que l’Histoire est un processus fatal déterminé à l’avance, l’auteur montre à travers 13 meurtres ou tentatives de meurtre, notamment ceux de Trotski par Ramon Mercader, de Darlan par Fernand Bonnier de la Chapelle ou d’Hitler par le comte Stauffenberg, ou encore celui d’AIdo Moro en 1978, à quel point le hasard ou la passion d’un individu ou d’un groupe d’activistes peuvent créer l’inéluctable et engendrer une situation politique inédite. Les hommes font donc bel et bien l’histoire, même s’ils ne savent pas toujours l’histoire qu’ils font. »

Paul-François Paoli, Le Figaro Littéraire, 26 avril 2012.