Sur le livre de Dominique Venner
Histoire et tradition des Européens
(Essai publié aux Éditions du Rocher en 2002. Nouvelle édition modifiée en 2004. Une troisième édition est en préparation).
L’auteur répond aux questions de la journaliste Laure Destrée.
Question : En publiant Histoire et tradition des Européens, vous vous êtes écarté de vos travaux habituels. Dans ce livre, votre intention avouée est de jeter les bases d’une refondation européenne en partant à la découverte de nos sources. Vous le faites en décrivant l’histoire transnationale des Européens depuis la Préhistoire, en commentant les poèmes homériques qui sont un peu la Bible des Européens, en montrant aussi leurs prolongements dans la philosophie antique. Vous méditez sur Alexandre et l’Orient hellénistique, Rome, sa grandeur et sa décadence, la rupture introduite par Constantin et le christianisme. Vous insistez sur les renaissances ultérieures, celle des Francs et de Charlemagne, celle du Moyen Age celtique, celle, ensuite, du retour aux sources antiques. De page en page, on découvre des perspectives nouvelles, qu’il s’agisse de la féodalité, de l’amour courtois, des principes éducatifs, du rôle des élites, de la forme de l’Etat ou des fonctions multiples de l’Histoire, ce que vous appelez la “métaphysique de l’Histoire”. Pourquoi ce livre ?
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Categorie(s) : Actualité, Livre, publié le 1 juin 2009
Moins de trois semaines après sa mise en vente, le Ernst Jünger de Dominique Venner est en rupture de stock chez l’éditeur (Editions du Rocher). Un nouveau tirage est prévu dans les jours qui viennent. Pour ne pas le rater, il est préférable de le retenir dès maintenant chez son libraire habituel.
Categorie(s) : Critique, Livre, publié le 1 juin 2009
Jean-Maurice de Montrémy (Livres Hebdo, 8 mai 2009) :
« Dominique Venner a connu Ernst Jünger (1895-1998) et fréquente depuis longtemps ses livres. […] Il analyse avec justesse les tournants du cheminement de Jünger, notamment sa tentation du bellicisme et de la “révolution conservatrice”, dans la mouvance du prénazisme. Il montre aussi la valeur de ses refus. S’opposant à Hitler, tirant les conclusions de la catastrophe allemande, Jünger devient un penseur de l’Europe comme culture et civilisation. De ce point de vue, la lecture ou la relecture de ses œuvres, ainsi mises en perspective, reste déterminante. »
R.S. (Chronic’art, mai 2009) :
« Dans un style limpide et alerte, Dominique Venner ne cherche ni à masquer ni à accuser le jeune Jünger ; il révèle au contraire la cohérence de son parcours à travers un siècle de destructions qu’il a vu d’un bout à l’autre. Il se dégage ainsi un modèle de noblesse, de lucidité, de probité et d’esprit typiquement européen…
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Categorie(s) : Radio, publié le 1 juin 2009
Le jeudi 25 juin 2009, de 18 h à 21 h, Dominique Venner sera l’invité de Radio Courtoisie, émission du « Libre Journal des historiens » que dirige Philippe Conrad.
Pour écouter Radio-Courtoisie :
– par satellite : CANALSAT
– directement sur le site Internet : www.radiocourtoisie.net
– liste des fréquences sur le site
Categorie(s) : Réflexions, publié le 30 mai 2009
Quel est pour vous le comble de la misère ?
– Ne plus se reconnaître dans sa propre patrie.
Où aimeriez-vous vivre ?
– Dans mes rêves.
Votre idéal du bonheur ?
– L’idée du bonheur m’est étrangère, sauf dans les accords de l’intimité.
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Categorie(s) : Critique, Livre, publié le 27 mai 2009
Bruno de Cessole, Valeurs Actuelles.
« Rompant avec la confusion mentale, la honte de soi, le nihilisme ambiants, l’historien s’attache à mettre à jour les linéaments de l’identité européenne depuis l’aube de l’histoire. »
Frédéric Mitterrand, Europe 1.
« Les chapitres consacrés à la chevalerie et à l’amour courtois recèlent des vues aussi novatrices que séduisantes. Tout serait à citer dans cet essai lumineux. »
Pol Vandromme, Les Dernières Nouvelles d’Alsace.
« Ce que défie Dominique Venner, c’est la fatalité, la résignation, le consentement à ce que les natures molles tiennent pour irrémédiable. La renaissance, dans la fidélité à la lettre vive du passé, c’est l’enjeu du courage de demain. »
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