Bruno de Cessole, Valeurs Actuelles.
« Rompant avec la confusion mentale, la honte de soi, le nihilisme ambiants, l’historien s’attache à mettre à jour les linéaments de l’identité européenne depuis l’aube de l’histoire. »
Frédéric Mitterrand, Europe 1.
« Les chapitres consacrés à la chevalerie et à l’amour courtois recèlent des vues aussi novatrices que séduisantes. Tout serait à citer dans cet essai lumineux. »
Pol Vandromme, Les Dernières Nouvelles d’Alsace.
« Ce que défie Dominique Venner, c’est la fatalité, la résignation, le consentement à ce que les natures molles tiennent pour irrémédiable. La renaissance, dans la fidélité à la lettre vive du passé, c’est l’enjeu du courage de demain. »
Vladimir Volkoff, Le Figaro.
« Venner fait vivre devant nous un mythe européen qui a le mérite de la grandeur. Son livre serait presque capable de redonner espoir et foi au pessimiste grincheux que je suis. »
Eric Werner, Catholica.
« Pour Dominique Venner, le livre sacré des Européens n’est pas la Bible hébraïque, mais l’Iliade homérique. Il n’est pas à proprement parler hostile à la tradition judéo-chrétienne, simplement elle ne l’intéresse pas, il la considère de l’extérieur. »
Michel Marmin, Eléments.
« La seule objection que nous formulerions se rapporte à la vision un peu trop obsidionale que l’auteur se fait de la civilisation européenne. Il n’est pas loin de considérer que les civilisations sont vouées à l’incompréhension mutuelle, ce que nous ne croyons pas. »
Christian Brosio, Le Spectacle du Monde.
« Un ouvrage qui fera date, très personnel, en forme de testament intellectuel, fruit de quelque quarante années de réflexions et de maturation, destiné à semer pour l’avenir. »