Le mot de l’auteur

« Je ne plaide en faveur de rien, hormis le courage et la lucidité »

Le mot de l'auteurCe site n’est pas commercial. Il ne vend rien.

Ce n’est pas non plus une entreprise favorisant le conformisme ou le prêt-à-penser.

C’est le site d’un écrivain, précisément d’un historien, à destination de ceux qui ont la curiosité de s’interroger un instant sur tel de ses livres, de ses écrits, de ses réflexions, éventuellement sur lui.

Il me faut maintenant dire “je”, pour informer succinctement le visiteur. Je suis un écrivain européen de langue française. Pour en savoir plus, on se reportera à la page biographie.

Je suis écrivain dans la mesure où je m’attache, par exigence et par goût, à la forme et au style de ce que j’écris. Je suis historien par vocation, par désir de comprendre le présent en m’appuyant sur le passé. Une part de mes travaux est consacrée à l’histoire contemporaine, précisément au XXe siècle, que j’appelle le « Siècle de 1914 ». Je dirige aussi la Nouvelle Revue d’Histoire. Celle-ci accueille d’excellents historiens de tous horizons. Elle traite les sujets les plus divers hors des sentiers battus, associant faits et réflexions, textes et illustrations. Je travaille et j’écris dans un esprit de ferme liberté, à l’écart des modes culpabilisatrices, plaintives ou compassionnelles.

A mes yeux la réflexion historique est illimitée. Elle s’appuie sur la matière concrète et infinie de réalités vécues à comprendre et découvrir. Pour cette raison, elle échappe aux constructions de la pure abstraction, offrant la seule réponse à l’épuisement de la pensée politique, philosophique et religieuse de notre temps.

Ce site ne cessera d’évoluer. On y trouvera les pistes ouvertes par mes travaux et réflexions. On y trouvera aussi toute sorte de réponses aux questions posées par mes livres, ainsi que des informations biographiques et bibliographiques plus complètes qu’ailleurs.

Le visiteur intéressé aura naturellement la possibilité de me faire part de ses opinions. J’y répondrai dans toute la mesure de mon possible, sans pouvoir, bien entendu, me transformer en « banque de données ». Il y a pour cela d’excellentes encyclopédies, des ouvrages spécialisés et la Nouvelle Revue d’Histoire.

Dominique Venner, le 19.V.09