Il y a 10 ans, la mort volontaire de Dominique Venner était un geste de révolte, de fondation.

Trois ouvrages de Dominique Venner, récents ou réédités, trouveraient leur place aussi bien au pied du sapin de Noël que dans toute bibliothèque européenne.

 « Sans le savoir, nous mettons nos pas dans ceux de nos pères souvent ignorés. »

En ce jour anniversaire de la mort de Dominique Venner, nous reproduisons ici, presque dans son intégralité, l’éditorial qu’il a écrit pour le premier numéro de la Nouvelle Revue d’Histoire en 2002.

Cet éditorial, repris dans le recueil Grandeur et décadences de l’Europe (Ed. Via Romana, 300 p.), nous rappelle que chaque européen est dépositaire d’un héritage caché, qu’il doit découvrir et défendre.

Ce jeudi 7 octobre, à la Nouvelle Librairie, dans le cadre des Jeudis de l’Iliade, François Bousquet présentera le premier volume des « Carnets Rebelles », carnets personnels tenus par Dominique Venner pendant plus de trente ans.

« Qu’elles soient politiques, sociales ou même religieuses, les formes sont vouées à se faner, tandis que perdure, sous divers masques l’essence d’un peuple ou d’une culture ». C’est cette essence que nous transmet Venner, et qu’il nous demande de transmettre à notre tour ; c’est aujourd’hui le combat des combats en attendant le réveil, la seule flamme à entretenir qui permettra ce réveil.

Jean-Louis Tremblais a signé une recension, dans le Figaro Magazine du 10 septembre 2021, du dernier livre de Dominique Venner : «Grandeur et décadences de l’Europe».